Hamza Oussi
Du stage de fin d’études au consulting en 2 ans
“Pour moi, Marte, c’est l’endroit idéal pour monter en compétence dans un environnement particulièrement bienveillant.” A 30 ans, Hamza dresse un bilan plus que positif de son parcours professionnel chez Marte. Récit.
“Être soi-même !” C’est le conseil d’Hamza pour réussir son parcours professionnel. Et c’est cette philosophie qui l’incite, près de trois après son arrivée chez Marte, à poursuivre sa carrière dans l’ESN.
Pour Hamza, la raison est toute simple : Marte est une structure à taille humaine, chacun se connaît et, même si les équipes sont le plus souvent en mission chez les clients, le management se montre très présent “La client est roi, OK… Mais chez Marte, pour les managers, la satisfaction des collaborateurs compte tout autant et on le sent au quotidien”.
Flashback. Sa licence de physique à Paris 7 en poche, Hamza enchaîne avec l’École d’Ingénieurs Généraliste du Numérique (EFREI). Arrivée en fin de cursus, et alors que la pandémie complexifie la recherche de stages, Marte propose à l’école d’accueillir des étudiants.
Trois entretiens plus tard, Hamza intègre l’entreprise pour une première mission. Après deux semaines d’intégration et de formation, il démarre au sein d’une très grande banque française pour assurer le support au niveau 1 et 2 sur un outil d’architecture d’entreprise. “C’était idéal pour une première expérience, car cela m’a permis de découvrir la solution en profondeur”, se souvient-il.
Recruté en CDI dès la fin de son stage, Hamza travaille ensuite sur un projet de migration de processus et d’activités de Microsoft Vision vers Mega Opex, puis pour une mission d’urbanisme sur le même Mega Opex, cette fois pour du référencement applicatif.
Ses premières expériences ne sont pas passées inaperçues… Et Hamza est aujourd’hui consultant, de retour dans la banque où il avait démarré mais pour une mission de développement de plus grande ampleur.
“Non seulement je suis monté en compétence et mon poste a évolué, mais je profite en plus d’une réelle autonomie dans l’organisation de mon travail. Cela aussi, c’est un réel plus !”, conclut-il.